Les personnages que je crée pour Les ailes de Cocco sont tous porteurs de paix, une paix sans morale, une paix naturelle...
Ils sont tous protecteurs, défenseurs ou créateurs de vie...
Bienveillants mais pas disposés à courber l'échine...
Ils sont libres et entiers...
Ils n'ont pas la notion du mal, ils ont le sens de ce qui est "bon", de
la sérénité, de l'équilibre naturel dans un monde certes utopique...
Mais comme disait Lamartine:
"L'utopie peut être une vérité prématurée..."
Quoi de plus représentatif qu'un oiseau pour symboliser la fragile et puissante liberté de battre des ailes... De battre du cœur...
Ce 14 novembre, quelque chose est entré par ma porte fenêtre dans un bruit de froissement affolé. Cette chose s'est jetée contre la vitre une première fois .
A la deuxième, j'ai vu qu'il s'agissait d'une mésange bleue paniquée de ne trouver la sortie.
Probablement assommée, elle est presque tombée pendant que mon cœur s'accélérait à l'idée qu'elle puisse se tuer. C'est si délicat une mésange... Quand soudain je l'ai vue rattrapée par la gueule du chat, la menace cachée !
Dans l'agitation générale j'ai crié, saisi le chat en un quart de tour et l'oiseau s'est envolé...
Une fraction de seconde... Voilà à quoi tient la vie parfois...
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Ces derniers jours dont nous partageons tous la noirceur nous font prendre conscience que nous sommes connectés bien au-delà de ce que nous pensons, imaginons...
La perversion, la perversité de l'Homme nous révèlent à nous-mêmes la part sombre de notre humanité à laquelle nous ne devons pas faillir... Pour cela nous avons de la lumière en nous. Elle se nomme Amour, Création, et porte d'autres noms tout aussi porteurs de vie...
Nous avons la Conscience.
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Comme un chant intérieur, les mots qui suivent ont trouvé tout leur sens dans cette actualité...
You are still my brother
Till the end of time
You and I we lost our way
Differences of mind
Till the end of time
Listen to me Brother
I can’t take your place
No one else can wear your face
That’s the work of grace
Till the end of time
And here is my problem:
Hey, I think you got me wrong
I am sorry for the riches that I found
I didn’t mean no harm
So tell me where you’re bound
You’re welcome in my town
But if you try to force my compass ‘round
I’m gonna stand you down
You are still my brother
Till the end of time
No one else can take your place
Difference is divine
Till the end of time
And here is my problem:
Hey, I think you got me wrong
I am sorry for the riches I took home
I know I crossed a line
But show me what you’ve found
You’re welcome in my town
But if you try to force my compass ‘round
I’m gonna stand you down
Till the end of time
Texte: M. Harket et O.Sverre Olsen (éventuels ajouts de P. Kvint...)
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